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Opérations esthétiques : elles l’ont fait, elles témoignent

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2 avril 2017 – Mise à jour le 12 mai 2023


Elles n’aimaient plus l’image que leur renvoyait le miroir, pour différentes raisons : une expression un peu dure sur le visage, un ventre grassouillet, des seins trop plats, etc. Elles ont sauté le pas et ne le regrettent pas une seconde !    

Des injections d’acide hyaluronique, Natacha, 44 ans  

Depuis quelque temps, mon sillon naso-génien s’était creusé et je ne supportais plus cette image dure que me revoyait le miroir. Je ne me reconnaissais plus ! J’avais déjà croisé pas mal de femmes dans mon entourage qui s’étaient fait injecter, avec des résultats plutôt naturels. Mais j’hésitais parce que j’ai un terrain atopique, j’avais peur des réactions. Et puis, un jour, j’ai fini par craquer. En fin de compte, le médecin m’a injectée avec un stylo motorisé, le geste est beaucoup plus doux qu’avec une aiguille classique, je n’ai pas du tout eu mal et je n’ai eu aucun bleu. Il a traité aussi les plis d’amertume, de chaque côté de la bouche et légèrement les pommettes qui avaient un peu fondu, en m’expliquant que cela améliorerait aussi l’aspect du sillon naso-génien. Je me suis laissé faire, j’avais confiance. Et je ne le regrette pas car le résultat est génial ! En sortant de la séance, j’étais un peu rouge aux endroits des piqûres, mais le soir tout avait disparu. Depuis que j’ai fait ces corrections, je ne suis plus la même. Ça m’a carrément reboostée ! J’ai envoyé mon avant/après à mes amies sur Facebook qui n’en revenaient pas du changement, et maintenant, elles veulent toutes faire pareil ! De mon côté, je commence à mûrir les prochaines injections. Maintenant que j’ai vaincu ma peur, je me ferais bien injecter le cerne et l’ovale du visage …

avant/après augmentation mammaire

Teosyal Pen

Une cryolipolyse, Gaëlle, 52 ans

J’ai toujours eu du ventre. Je tiens ça de mon père. Pourtant, j’avais déjà fait deux liposuccions (la première il y a 17 ans, après la naissance de ma fille. J’avais pris 28 kilos ! La seconde, il y a six ans). A chaque fois, c’était revenu. Pas autant, bien sûr. Mais suffisamment pour que je ne parvienne plus à fermer mes pantalons. Il y a deux ans, j’ai donc signé pour une cryolipolyse. Je ne me voyais pas refaire une troisième lipo, même si les résultats sont déments. J’en ai profité pour faire traiter aussi les bourrelets du dos. Résultat, je suis restée quatre heures dans le fauteuil du médecin ! J’avais enregistré des films sur mon ordinateur pour faire passer le temps. Franchement, l’intervention n’est pas douloureuse. Juste une sensation de pincement, pas très agréable. En revanche, le massage qui est pratiqué juste au retrait de l’applicateur est une horreur. La peau est comme du carton-pâte, il faut réveiller tout cela. C’est comme si l’on massait des engelures ! La peau de mon ventre est restée rosée pendant 2 à 3 jours et très sensible pendant 2 à 3 semaines. J’avais des sensations bizarres, comme si elle se réveillait d’une anesthésie. Les résultats sont apparus progressivement, de façon subtile. Ce n’est pas aussi flagrant qu’après une lipo. J’étais surtout contente des résultats dans le dos. Sur le ventre, même si je réussissais à nouveau à fermer le bouton de mon pantalon, c’était moins surprenant. J’ai remis ça huit mois plus tard, car il me restait un renflement au-dessus du pubis. Mais un an après la première séance, tout est revenu (ou quasi) ! Si la cryolipolyse peut rendre service, elle ne fait pas de miracle. Il faut surveiller son hygiène de vie de façon stricte après cette intervention, se mettre au régime, faire du sport. D’autre part, si l’on a une bonne épaisseur de graisse, je pense qu’une liposuccion est plus indiquée. Les plus résultats sont plus spectaculaires et durent beaucoup plus longtemps.

Des fils tenseurs, Joëlle, 56 ans

Il y a deux ans, mon médecin esthétique m’a proposé des fils crantés, qu’elle avait déjà pratiqués sur quelques patientes, pour corriger un début de relâchement au niveau du bas du visage et du cou. J’avais déjà fait des injections au niveau de l’ovale mais je trouvais que ça alourdissait mon visage, qui est triangulaire et très fin. Je ne regrette pas du tout mon choix : le résultat est vraiment super ! Bon, ça fait un peu mal. Mais j’ai eu de la chance, je n’ai pas été marquée : pas de bleu, pas de gonflement. Juste quelques légers plis devant l’oreille pendant 3 à 4 jours et des petits trous aux endroits où les fils ont été insérés. C’est un peu douloureux aussi quand on ouvre grand la bouche, pendant une semaine. Je suis retournée bosser l’après-midi même ! Et le soir, quand je suis rentrée chez moi, mon mari n’a rien vu ! Le résultat a duré environ un an et demi. J’ai fait remettre d’autres fils il y a un mois, dans la même zone, avec les mêmes résultats. Mais je crois que pour être satisfaite de ce genre d’intervention, il ne faut pas trop en attendre. L’amélioration est légère. Il n’y a que vous pour réellement voir ce qui a changé, l’entourage ne le perçoit du tout. Côté prix, j’ai payé 700 € pour 2 fils de chaque côté, ça reste raisonnable.

Un lifting + liposuccion du cou + une chirurgie des paupières, Zoé, 48 ans

Ces dernières années, je trouvais que mon visage s’était alourdi. Mais le déclic pour l’intervention, je l’ai eu, un jour, en observant ma mère à qui je ressemble énormément. Elle venait de subir une intervention très lourde, à la suite de laquelle, elle avait perdu énormément de poids mais elle avait conservé son double-menton ! C’est là, où je me suis dit que mon/son problème était d’ordre génétique. Et que si je voulais améliorer l’aspect de mon visage sans m’affamer, il n’y avait pas d’autre alternative que le bistouri. J’ai été consulter un chirurgien, et en discutant avec elle, elle m’a proposé un lifting cervico-facial doublé d’une liposuccion du cou. Et comme mes paupières me gênaient aussi, elle a suggéré de les retoucher aussi, avec une blépharoplastie (chirurgie des paupières inférieures et supérieures), dans le même temps opératoire. J’ai réfléchi, et j’ai dit banco. Finalement quitte à passer sur le billard, autant s’offrir la totale. A l’époque, je vivais seule avec mes enfants, que j’avais envoyés chez leur père le temps de me remettre de l’intervention. Je ne voulais pas leur infliger tout cela. Je me suis rendue seule à la clinique et une amie est venue me chercher le lendemain de l’intervention pour me ramener chez moi, où j’avais fait un stock de provisions et de livres et de DVD pour dix jours ! J’avais la tête enrubannée comme un œuf de Pâques, mais mon visage n’était pas très marqué. C’est le lendemain où là j’ai commencé à gonfler comme une baudruche et des bleus aussi sont apparus au niveau du cou et des joues (mais curieusement, rien au niveau des yeux). J’avais des bouffées de chaleur, aussi. J’ai commencé à faire des crises d’angoisse. Heureusement, le chirurgien sachant que j’étais un peu isolée, m’avait dit : « voilà mon numéro mon portable, n’hésitez pas », ce qui m’a bien soulagée, je dois dire. D’autant que dans l’intervalle, j’ai fait une nécrose : en bas d’une joue, la peau a commencé à noircir, puis à s’ouvrir. J’ai dû me rendre en catastrophe chez le chirurgien, qui a désinfecté tout cela et fait un point. Mais tout cela est entièrement de ma faute ! J’ai fumé mon paquet de clopes quotidien quasiment jusqu’au jour de l’intervention, alors qu’on m’avait bien fait la leçon sur les méfaits du tabac. Je paie encore ma bêtise aujourd’hui car j’ai gardé une cicatrice. En dehors de cela, je n’ai pas du tout souffert. J’ai repris le travail au bout de quinze jours. J’étais encore un peu gonflée, mais surmaquillée, personne n’a rien remarqué. J’avais planqué la nécrose sous un pansement et prévu l’excuse : « je me suis fait enlever un grain de beauté ! ». J’ai commencé à voir les résultats après deux à trois mois, mais la nécrose m’a un peu gâché ma joie. Je pense néanmoins que c’était une bonne idée de réaliser toutes ces opérations assez jeune car personne ne remarque que j’ai fait quelque chose. Mon visage n’est pas transformé, il est juste plus frais. Cela m’a quand même pris quelques semaines avant d’assumer mon acte. Cette intervention m’avait coûté cher, j’aurais pu investir l’argent dans plus utile. J’avais honte. Après un an, je suis enfin en phase avec moi-même, j’ai retrouvé le visage que j’avais il y a six ou sept ans. Le résultat est très naturel et je suis ravie !

Une augmentation mammaire, Célia, 42 ans

Avant d’avoir mes enfants, je faisais un 85B. Après, je remplissais à peine un bonnet A. Une sage-femme m’avait dit qu’il fallait patienter quelques années pour récupérer sa poitrine, que c’était normal. Mais quand mon fils a eu 8 ans, j’ai bien compris que ça ne reviendrait pas ! J’ai parlé à mon gynéco de mon envie de poser des prothèses. Il m’y a encouragé et donné l’adresse d’un chirurgien plasticien. Je ne voulais pas être privée de cette part de féminité. Je suis mince, mais j’ai des hanches, des fesses, des cuisses. Ne plus avoir de seins, ça ne collait pas ! J’ai quand même mis deux ans avant de me décider à aller consulter. La femme qui m’a reçue a tout de suite compris mes attentes : je voulais juste récupérer mes seins d’avant, rien de plus que ça. J’ai été opérée un mois après. L’intervention s’est hyper bien passée. Je n’ai pas eu mal une seconde. La peau des seins était sensible mais pas du tout marquée. Je n’ai pas eu de bleus, pas d’œdème. J e crois que j’ai vraiment été chanceuse sur ce coup là. Je m’étais préparée à mort avant, pendant et après l’intervention avec de l’homéopathie, est-ce que c’est ça qui a marché, je ne sais pas … Dès mon réveil, bien sûr, j’ai voulu voir à quoi ma poitrine ressemblait. Et je me rappelle avoir été hyper-surprise de découvrir une peau aussi nickel. Je m’attendais à un spectacle un peu gore, avec des seins énormes comme après une montée de lait. Mais rien de tout cela ! C’était propre, hyper naturel. Le lendemain soir, j’étais tellement en forme que je suis allée fêter ça au resto avec une copine ! En revanche, j’étais super-fatiguée. Je me rappelle avoir dormi des journées entières en sortant du bloc. Cette intervention s’est déroulée tellement facilement que j’ai intégré hyper-rapidement ma nouvelle poitrine. Et hyper-rapidement aussi, j’ai foncé dans un magasin de lingerie pour mettre en valeur tout ça. Quelle joie immense de se sentir à nouveau femme !



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Linh Pham, journal et medi-aesthetics influencer, créateur du premier magazine digital indépendant sur la médecine et la chirurgie esthétique

Journaliste spécialisée en médecine et chirurgie esthétiques, j’ai créé Le Journal De Mon Corps pour vous donner la meilleure info qui soit sur le sujet. Ma différence : des enquêtes fouillées, rédigées de façon libre, indépendante et sur un ton impertinent qui, je l’espère, vous fera passer un bon moment.